La biennale de photo Instantané offre une déambulation joyeuse

Vendredi soir était inaugurée la nouvelle biennale de photographie testerine, Instantané. L’exposition artistique, qui a pris possession des rues, places et parcs de la ville et cela jusqu’au 26 octobre, propose au public une déambulation joyeuse à travers une sélection d’artistes dont les clichés font écho à la thématique de cette nouvelle édition : « Faut-il en rire ? ».

FAUT-IL EN RIRE ?
Qu’il soit volontaire, ou fortuit, ironique ou ludique, implicite ou assumé, poétique, philosophique, grotesque ou subtil, qu’il use de la dérision ou qu’il soit empreint de gravité, l’humour permet une mise à distance du réel et ouvre sur une autre façon de voir le monde. Sur une proposition des commissaires d’exposition Ghyslaine Badezet et Jean-Luc Soret, la Biennale photo INSTANTANÉ 2018, intitulée “Faut-il en rire ?”, invite à une déambulation joyeuse à travers une sélection d’artistes qui témoignent de notre besoin d’arranger ou de parfois contourner la réalité pour la rendre plus légère, acceptable, voire pour la réenchanter.

 

Les commissaires : Ghyslaine Badezet et  Jean-Luc Soret

Les artistes : Emile Loreaux, Pierrick Sorin,Weronicka Gesicka, Bernard Demenge, Charlotte Lybeer, Benoît Luisière, Geoffrey Cottenceau et Romain Rousset et une sélection de photographies issue des collections du Frac Limousin

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